Le fils ouzbek qui a fait frémir les fascistes dʼeffroi

«Personne nʼest oublié, rien nʼest oublié.» Ces paroles ailées, devenues un symbole de la mémoire universelle, ont inspiré la création de nombreux complexes commémoratifs dédiés à la Seconde Guerre mondiale.
Notre peuple garde toujours dans son cœur la mémoire de ses héros et honore profondément leur bravoure. Cʼest à lʼexemple de ces hommes valeureux que nous apprenons à vivre, à créer, à vaincre, et transmettons ce lien entre les époques à nos générations futures. Les noms de ceux qui ont donné leur vie pour la liberté et un avenir pacifique sont gravés dans le bronze, le granit et le marbre des monuments. Ce ne sont pas de simples constructions architecturales, mais des symboles de vaillance et de courage qui nous inspirent à atteindre de nouveaux sommets.

Chaque année, le 9 mai – Journée de la mémoire et de lʼhonneur – nous nous rassemblons au pied des monuments pour rendre hommage à la mémoire de ceux qui ont participé à cette guerre tragique. Nous évoquons leur bravoure et leurs actes héroïques. Cʼest grâce à des personnes telles quʼeux que nous vivons aujourdʼhui sous un ciel paisible, que nous construisons notre vie et que nous rêvons de lʼavenir.
Lʼhistoire de la Seconde Guerre mondiale conserve de nombreux noms gravés à jamais dans la mémoire du peuple. Lʼun de ces héros est notre compatriote, digne fils du peuple ouzbek, Mamadali Topvoldiev, qui a fait preuve dʼun courage et dʼune bravoure incomparables sur les champs de bataille en Biélorussie. Son héroïsme est devenu un symbole de ténacité et de patriotisme, insufflant fierté et dignité aux générations futures.

La mémoire des héros nʼest pas seulement un hommage au passé, mais aussi une responsabilité envers les générations futures. Afin que les jeunes comprennent à quel prix la paix et la tranquillité ont été acquises, nous devons raconter davantage leur histoire.
Lʼéquipe rédactionnelle des journaux « Xalq soʻzi » et « Narodnoïe slovo » sʼest rendue en Biélorussie pour découvrir de près les lieux liés aux opérations militaires du soldat ouzbek. Elle sʼest rendue dans le district de Krougloïe, dans la région de Moguilev, où Mamadali Topvoldiev a fait preuve dʼun héroïsme incomparable.
Lʼinvincible «Kazbek»

Mamadali Topvoldiev est né dans le district de Richtan, dans la région de Ferghana. En 1939, il fut appelé sous les drapeaux et servit comme conducteur-mécanicien dans une unité militaire stationnée en Biélorussie. Ce jeune homme ouzbek, courageux et dévoué, ne savait pas alors quʼil serait parmi les premiers à affronter les fascistes loin de sa patrie, ni que le destin lʼattacherait à jamais à la terre biélorusse.
À lʼaube du 22 juin 1941, lorsque les fascistes envahirent lʼancienne Union soviétique, Mamadali Topvoldiev, simple soldat âgé de 22 ans, et ses compagnons dʼarmes tentèrent de repousser la première offensive ennemie. Notre compatriote fut blessé lors de ce combat. Au cours des premiers jours de lʼinvasion, son unité fut encerclée par les forces fascistes. Malgré cela, Mamadali Topvoldiev parvint, avec un petit détachement, à percer le blocus ennemi et à se réfugier dans les forêts de la région de Moguilev. Ce fut son premier acte héroïque dans cette grande guerre.

À cette époque, les villes et villages de Biélorussie avaient été ravagés par les fascistes, et une grande partie de la population avait été emmenée en captivité. Les personnes âgées, les handicapés et les enfants ayant survécu vivaient dans des conditions extrêmement difficiles.
— Selon les témoignages, les partisans ne laissaient aucun répit à lʼennemi, de jour comme de nuit. Ils infligeaient de lourdes pertes aux fascistes et menaient des opérations qui les plongeaient dans la panique, — déclare Via Gapaïeva, directrice du musée dʼhistoire et dʼethnographie du district de Krougloïe. — Voici la chronologie de certaines opérations menées sous la direction et avec la participation de Topvoldiev :
Novembre 1941. Mamadali et Nikolaï lancent une attaque contre le camp fasciste situé dans la ville occupée de Borisov et libèrent 146 prisonniers de guerre.
Février 1942. Lors dʼune mission de reconnaissance dans le village de Krougloïe, Mamadali Topvoldiev est capturé, mais parvient une fois encore à sʼéchapper. Par la suite, il rassemble 13 soldats dans les villages de Passirevo, Doudakovitch et Oglobli et forme un groupe de partisans. Par la suite, ils rejoignent le détachement de partisans « Tchékiste » dirigé par Guérassim Kirpitch. Ce détachement se transforme ensuite en une brigade de partisans rassemblant des Russes, des Biélorusses, des Ukrainiens, des Ouzbeks, des Tadjiks, des Kirghizes et des Moldaves.

Juillet 1942. Le groupe de reconnaissance des partisans dirigé par Mamadali Topvoldiev attaque un train ennemi en route de Smolensk vers Minsk. Le train fasciste est fait exploser près de la station Trotsilovo-Slavnaïa, entraînant la destruction dʼun grand nombre de soldats ennemis.
Du début de lʼannée 1943 jusquʼau 1er juin, il prend part à des opérations militaires dʼune importance décisive. Son groupe lance une attaque surprise contre la garnison fasciste située dans le centre du district de Tolochine et libère des centaines de soldats soviétiques faits prisonniers. De nombreux soldats, inspirés par les actions de Topvoldiev, rejoignent les partisans. Parmi eux se trouvent Abdoulla Bektémirov du Karakalpakstan, Berdikoul Rakhimov de Bechariq, Kourbon Haïdarov de Kokand, Rakhmatjon Yoldoshev dʼAssaka et Karim Dadabaïev du Tadjikistan.

Du 13 au 15 juin, Mamadali fait exploser à lui seul des véhicules légers et des camions ennemis. Lors dʼune mission de reconnaissance dans le village de Vorontsevitchi, il repère une colonne ennemie approchant. Il la laisse sʼapprocher à une distance de tir sûre, puis ouvre le feu avec son arme automatique. Pris de surprise, les fascistes, après un bref affrontement, prennent la fuite.
Le 26 août, dans le village de Logovchtchina, il engage seul un combat contre un détachement ennemi et élimine de nombreux fascistes.
En octobre de la même année, « Kazbek » élabore une opération visant à éliminer un groupe dʼAllemands venus au village de Podberezino pour réquisitionner du bétail – chevaux et chèvres – auprès de la population. Lors de ce combat, Mamadali élimine à lui seul des dizaines de fascistes. Après chaque opération, Topvoldiev gravait le mot « Kazbek » au couteau sur les arbres, laissant ainsi sa trace – ce qui maintenait constamment les fascistes dans la peur.

En 1943, la nouvelle du courage de Mamadali Topvoldiev se répand dans toute la Biélorussie et est portée à lʼattention du Haut Commandement. Lors des opérations militaires hivernales de 1943-1944, Mamadali Topvoldiev tombe à plusieurs reprises dans des embuscades, mais sʼefforce malgré tout dʼaccomplir chaque mission. Son courage est particulièrement salué dans les ouvrages documentaires et historiques consacrés au mouvement partisan, publiés à Moscou, Minsk et Tachkent. De nombreux articles ont été écrits à son sujet dans les publications de lʼépoque et diffusés sur les champs de bataille.
Mamadali Topvoldiev, à lui seul, a réduit en cendres plusieurs casernes ennemies, fait exploser cinq trains militaires et capturé 76 soldats et officiers fascistes, dont un général. Selon les informations disponibles, Adolf Hitler le considérait comme son ennemi personnel et avait promis une récompense de 50 000 reichsmarks, une villa et une centaine de vaches pour sa capture.
Le 15 août 1944, Mamadali Topvoldiev reçoit le titre de héros pour son courage dans la lutte contre les envahisseurs fascistes et pour ses services exceptionnels dans le développement du mouvement partisan en Biélorussie.

La mémoire des héros demeure dans nos cœurs.
— Aujourdʼhui, nous célébrons le 80e anniversaire de la victoire sur le fascisme. La Seconde Guerre mondiale est un événement tragique qui fait partie de lʼhistoire et qui a bouleversé le destin de millions de personnes, — déclare Angela Loukasévitch, vice-présidente du comité exécutif du district de Krougloïe. — En se remémorant cette période difficile, il est impossible dʼoublier nos héros devenus symboles de bravoure. Lʼun dʼeux est le fils ouzbek Mamadali Topvoldiev, qui a fait preuve dʼun courage incomparable en défendant la patrie contre le fascisme. Son parcours est un véritable exemple dʼhéroïsme. La mémoire de ces héros doit vivre dans nos cœurs et être transmise aux générations futures. Dans notre district, tout le monde, jeunes comme anciens, connaît son histoire : dans chaque établissement scolaire, des panneaux sont consacrés aux actes héroïques de Mamadali Topvoldiev. Dans les années qui ont suivi la guerre, chaque fois quʼil revenait à Krougloïe, la population locale lui témoignait un profond respect. Avec une affection particulière, ils lʼaccueillaient en disant : «Notre libérateur!», «Le tigre dʼAsie!», «Kazbek, le vaillant fils!»
Il existe des témoignages selon lesquels, durant les années difficiles dʼaprès-guerre, il a invité plusieurs de ses compagnons dʼarmes en Ouzbékistan. Il les a aidés à trouver un emploi et un logement.

Aujourdʼhui, un espace dédié à Mamadali Topvoldiev a été aménagé au musée dʼhistoire et dʼethnographie de Krougloïe. On y conserve des photographies de notre compatriote héros, des livres, journaux et revues relatant ses actes de bravoure, ainsi que des copies de documents témoignant des distinctions quʼil a reçues pour ses services rendus. De plus, lʼune des rues principales du district porte son nom, et un buste en son honneur a été érigé dans le parc central. Tout cela témoigne du profond respect éternel que le peuple biélorusse voue à sa mémoire.
— Krougloïe est lʼun des coins les plus uniques du pays, — déclare Natalia Saltanova, cheffe du service dʼinformation et dʼassistance de la bibliothèque centralisée de Krougloïe. — Le passé de la région est lié aux principautés de Polotsk et de Droutsk. Mais dans notre petite patrie, il existe des lieux où la mémoire des actes héroïques de la guerre a été préservée pendant 80 ans... Du 8 juillet 1941 au 28 juin 1944, le territoire de la région a été occupé par les envahisseurs fascistes. 1 277 civils y ont été exécutés, et 1 527 personnes ont été déportées de force en Allemagne. Dans la région, la 8e brigade de partisans, le détachement des tchékistes et lʼorganisation clandestine OBZOR du parti et de la jeunesse communiste ont été actifs. Le nom de Mamadali Topvoldiev, aux côtés dʼautres héros, est inscrit en lettres dʼor dans lʼhistoire du district de Krougloïe.
Le courage de Mamadali Topvoldiev ne se résume pas à une histoire de bravoure sur le champ de bataille. Il raconte un attachement profond à sa patrie, une fidélité aux idéaux de liberté et de justice. Son héroïsme demeure un exemple éclatant de courage éternel pour toutes les générations. Nous devons nous souvenir de tels héros et transmettre leur héritage aux générations futures.
Un fils du peuple biélorusse aussi
Pour chaque famille, la guerre nʼest pas simplement une page dʼhistoire, mais le destin de ceux qui ont risqué leur vie pour libérer leur patrie des envahisseurs fascistes. Certains sont partis au front, dʼautres sont devenus partisans ou messagers, tandis que dʼautres encore ont travaillé à lʼarrière.

Au cours des années qui ont suivi la guerre, Topvoldiev est revenu à plusieurs reprises en Biélorussie pour retrouver ses camarades partisans avec lesquels il avait combattu. « Jʼai marché avec eux à travers les fourrés des forêts, me remémorant les combats et mes amis tombés au champ dʼhonneur », se souvenait-il lors de lʼun de ces échanges. Par ailleurs, il rendait régulièrement visite à sa seconde mère – Anna Rilkova. Il prenait soin dʼelle et lui avait fait construire une nouvelle maison. Cette maison existe encore aujourdʼhui dans le village de Passirevo, district de Krougloïe. Les descendants de Rilkova y vivent toujours.
Anna Mecheriakova entretient avec respect la mémoire de guerre de sa grand-mère Anna Rilkova, ainsi que lʼamitié entre la famille biélorusse et les descendants de Mamadali Topvoldiev, originaire dʼOuzbékistan.
— Ma grand-mère avait deux fils, Alexeï et Ivan, — raconte-t-elle. — En 1939, Ivan est parti à lʼarmée et a servi dans la même unité que Mamadali. Ils sont devenus amis. Au début de la guerre, ils ont été encerclés et ont réussi à sʼéchapper ensemble du blocus. Par la suite, Mamadali Topvoldiev, accompagné de ses compagnons dʼarmes, parvient en secret jusquʼau village de Passirevo, dans le district de Krougloïe, situé à proximité. Il se rend chez ma grand-mère, lui demande un abri et de la nourriture. Comme les fascistes et les traîtres rôdaient partout, ma grand-mère est dʼabord tombée dans la confusion et lʼinquiétude. Alors Mamadali Topvoldiev lui dit : « Auriez-vous agi de la même manière avec votre fils Ivan ? » En entendant le nom de son fils, la mère demande : « Tu connais Ivan ? » Et Topvoldiev lui répond quʼil a combattu aux côtés dʼIvan.
Cette rencontre marque le début dʼun lien fraternel entre Rilkova et Topvoldiev. Rilkova lʼaccueille comme son propre fils, et Topvoldiev, quant à lui, la respecte profondément jusquʼà la fin de sa vie.

— Ma grand-mère était particulièrement fière de son fils ouzbek, Mamadali Topvoldiev, — poursuit Anna Mecheriakova. — Lorsque les traîtres ont informé les fascistes que des partisans se cachaient chez Rilkova, les nazis ont mené une perquisition. Ne trouvant personne, ils ont emmené ma grand-mère et mon grand-père en captivité. Malgré deux semaines de tortures, les fascistes nʼont obtenu aucune information sur Topvoldiev et ses compagnons, et ils ont fini par relâcher mes grands-parents. À la suite de terribles souffrances physiques et psychologiques, mon grand-père est décédé peu de temps après cet événement. Plus tard, Mamadali Topvoldiev a vengé dignement cet acte auprès des fascistes. Malheureusement, la mort impitoyable lʼa emporté en 1969.
Chaque année, le 6 mai, Mamadali Topvoldiev avait pris lʼhabitude de venir à Krougloïe pour rendre visite à sa seconde mère et retrouver ses compagnons partisans. En 1969 également, ma grand-mère attendait son fils avec une grande préparation. Mais cette année-là, cʼest précisément le 6 mai quʼelle reçut la nouvelle de son décès.
Ma grand-mère, accablée de chagrin, se rend en Ouzbékistan pour assister aux funérailles et accompagner son fils jusquʼà sa dernière demeure. En 1973, elle retourne une nouvelle fois en Ouzbékistan, sur le lieu où son fils repose pour lʼéternité. Cʼest alors quʼelle aurait dit : « Il est temps maintenant que je rejoigne mes fils. » Peu de temps après, elle rendit son dernier souffle. Aujourdʼhui, notre famille entretient des liens dʼamitié solides avec la famille Topvoldiev. Cela témoigne de la continuité de lʼamitié éternelle entre nos peuples.
...La mémoire sacrée du héros ouzbek est toujours honorée et respectée en Ouzbékistan. Aujourdʼhui, dans le district de Richtan où il est né et a grandi, une maison-musée lui est dédiée et un buste a été érigé sur une place majestueuse. Ses exploits héroïques sont rappelés avec une grande fierté non seulement par les habitants de Richtan, mais aussi par tout notre peuple. Son courage est présenté comme un exemple inspirant pour la jeunesse.
Symbole de fierté et dʼhonneur
La Seconde Guerre mondiale a apporté à lʼhumanité des souffrances et des malheurs sans précédent. Des millions de personnes ont péri, des villes et villages ont été réduits en ruines, lʼéconomie a été dévastée. Malgré ces pertes immenses, la victoire sur le fascisme a été remportée. Sans aucun doute, le peuple ouzbek a apporté une contribution inestimable à cette victoire.
Regardons les chiffres : à la veille de la guerre, la population de lʼOuzbékistan sʼélevait à 6,8 millions dʼhabitants. Près de deux millions dʼentre eux sont partis au front. Cela signifie quʼune personne sur trois en Ouzbékistan a participé à la guerre.

Parmi eux, près de 540 000 ont perdu la vie, plus de 158 000 ont été portés disparus, plus de 870 000 ont été blessés à divers degrés, et plus de 60 000 sont revenus avec un handicap.
Dans la lutte contre le fascisme, 214 000 de nos soldats et officiers ont été décorés dʼordres et de médailles pour leur bravoure au combat. Parmi eux, 301 ont reçu le titre de « Héros de lʼUnion soviétique » et 70 ont été distingués par lʼordre de la « Gloire » dans ses trois classes.
Les efforts de nos compatriotes à lʼarrière du front ont été encore plus considérables.
Revenons aux chiffres. Plus de 170 usines et fabriques des régions touchées par la guerre ont été transférées en Ouzbékistan, et leur activité a été rapidement relancée. Grâce à cela, notre peuple a fourni au front une grande quantité dʼéquipements militaires, dʼarmes, de médicaments, de vêtements, de denrées alimentaires et dʼautres produits essentiels.
Entre 1941 et 1943, la population ouzbèke a volontairement versé plus de 475 millions de roubles au fonds de défense, ainsi que des objets personnels de valeur dʼune valeur totale de 22 millions de roubles. Notre peuple a offert un refuge à près de 1,5 million de personnes évacuées des zones de guerre et a fait preuve de compassion envers 250 000 orphelins séparés de leurs parents.

Ce ne sont pas de simples chiffres statistiques, mais le reflet du courage et de la noblesse dʼâme du peuple ouzbek.

...7 mai 2025. République de Biélorussie, district de Krougloïe. Une nouvelle matinée paisible et sereine sʼest levée. Certains accompagnent leurs enfants à la maternelle, dʼautres à lʼécole. Chacun est absorbé par ses préoccupations quotidiennes. Lʼessentiel, cʼest la tranquillité qui règne, et la sérénité des cœurs face à la vie paisible dʼaujourdʼhui et de demain...
Quand on pense que les fils de lʼOuzbékistan ont eux aussi contribué, par leur bravoure et leurs actes héroïques, à faire régner une paix durable dans différentes parties du monde, notre cœur se remplit dʼune immense fierté et dʼun profond sentiment dʼhonneur.
Fazliddin ABILOV, Nourlan OUSMONOV,
Correspondants spéciaux des journaux
«Xalq soʻzi» et «Narodnoïe slovo»
Tachkent – Minsk – Krougloïe – Tachkent
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