Le 22 janvier, le président Chavkat Mirzioïev a pris connaissance de la présentation de propositions visant à accélérer les réformes dans le domaine de la santé.

De nombreuses tâches ont été définies dans La stratégie “Ouzbékistan – 2030” pour garantir la santé de la population et améliorer la qualité de la médecine. Des propositions ont été élaborées avec la participation d'experts internationaux afin d'accélérer ces réformes et de les mettre en œuvre efficacement.

Selon lui, il est proposé de créer un bureau de projet “Le centre de projets de santé” sous la forme d'une institution d'État au sein de la structure du ministère de la Santé. Il est responsable de domaines tels que la mise en œuvre complète du système d'assurance maladie de l'État et l'ensemble des services médicaux et des médicaments gratuits garantis par l'État, renforcer le système de contrôle de la qualité et de la sécurité des services médicaux, accroître le potentiel du personnel, développer le système de formation médicale et le domaine scientifique sur la base des normes internationals. En outre, ce centre contribuera à la large mise en œuvre des technologies numériques, à l'accélération des projets de partenariat public-privé, à l'expansion du secteur privé, à l'augmentation de la transparence des marchés publics et à la réforme de l'industrie pharmaceutique.

Des experts expérimentés provenant de centres médicaux spécialisés, d'établissements d'enseignement supérieur et de recherche, ainsi que des experts et consultants étrangers sont impliqués dans les activités du bureau de projet sur la base du contrat.

Les réformes définies dans le secteur de la santé nécessitent le potentiel d'un personnel mature. C’est pourquoi plusieurs mesures sont prises à cet égard.
En particulier, les programmes éducatifs de l'Académie médicale de Tachkent sont soumis à une accréditation internationale. Il ouvrira des cours de master dans les spécialités de santé publique, de médecine préventive et d'activité physique. Sur la base du système internationalement reconnu, les connaissances des étudiants en médecine seront évaluées au moyen d'examens d'État en deux étapes.

À partir de la prochaine année universitaire, en fonction des besoins des régions, 200 diplômés des universités de médecine seront formés dans des établissements d'enseignement étrangers de premier plan sur la base de programmes de maîtrise et de résidence clinique.

En outre, les centres spécialisés de chirurgie, de cardiologie, d'endocrinologie, de dermatovénérologie et de cosmétologie, le Centre médical national pour enfants et le Centre médical national seront soumis à une accréditation internationale.

Cette année, 40 règles et normes sanitaires en vigueur seront révisées et mises en conformité avec les standards internationaux.

Le chef d'État a approuvé ces propositions et a pris un arrêté approuvant la « feuille de route » pour la mise en œuvre de ces priorités.